C'est l'une des superstitions les plus connues dans le monde. Briser un miroir porte malheur, mais ce dernier diffère suivant les pays. Retour sur cette croyance lointaine...
Certains gestes, certains jours, à l’instar du chiffre 13, sont à éviter si vous ne voulez pas voir le malheur frapper à votre porte.
Ce qui est fascinant avec la superstition, c’est qu’elle n’a aucune frontière, aucune limite temporelle. Elle est commune à toutes les civilisations.
La superstition se nourrit d’une émotion qui réside en chacun de nous, une émotion que l’on combat tout au long de notre vie : la peur.
À l'origine de la Superstition : casser un miroir
Les premières traces de cette croyance remontent à l’Antiquité : on pensait que le reflet du miroir était le reflet de notre propre âme. Le briser revenait donc à détruire une partie de soi.
Chez les Romains, le miroir retenait les âmes perdues des morts. Cette croyance s’exprime encore aujourd’hui dans la culture populaire.
C’est pour cette raison que l’on couvre de grands linges blancs les miroirs lors de la mort d’une personne, afin d’éviter que son âme soit emprisonnée à l’intérieur.
En Angleterre, casser un miroir annonce la mort d’un proche. En Chine, il annonce la fin de l’union conjugale.
Sept années de malheur
L’une des théories qui explique cette croyance nous vient d’Italie. Au XVe siècle, les premiers miroirs plats étaient fabriqués à Venise.
Très onéreux, les maîtres de maison privaient leurs domestiques de sept années de salaire si par malheur ils venaient à le briser.
Une autre histoire nous vient de la Renaissance. Laurent de Médicis (1449-1492), homme d’État florentin, brisa un somptueux miroir. Il lui faudra attendre sept longues années afin de trouver un artisan capable de reproduire le même modèle…
Voilà, vous savez maintenant d’où vient cette croyance.
Les porte-bonheur, la partie visible de la superstition
Nous sommes tous superstitieux à différents degrés, et nous ne devons pas en avoir honte. C’est une caractéristique commune à l’être humain, de tout temps et de toutes civilisations.
Cette peur s’est même traduite chez les plus grands de ce monde, à l’instar des pharaons, des Rois et des Reines.
Pour certains, ça peut tourner à la maladie, évitant tous les objets porte-malheur.
Pour d’autres, c’est juste histoire de mettre un petit peu de piment dans son quotidien.
C’est à partir de ce constat que nous avons créé nos bracelets cordon porte-bonheur.
Passionnés d’art verriers, nous poursuivons la tradition familiale depuis 1882 à travers un bracelet réglable, pour toute la famille.
Adaptable sur tous poignets, agréable à porter, cette pierre de cristal, originaire de Bohême, est sablée dans nos ateliers en Lorraine.
On ne vous cache rien, la fabrication de nos bracelets est présentée sur notre chaîne Youtube.